Salaire des joueurs du PSG : Le Paris Saint-Germain version 2025-2026 continue d’afficher une puissance financière impressionnante.
Quel est le salaire des joueurs du PSG pour la saison 2025-2026 ?
Entre les cadres historiques et les jeunes promesses, le club de la capitale maintient une grille salariale qui fait tourner les têtes. Et dans le vestiaire du Parc des Princes, les chiffres sont aussi parlants que les ambitions.
Le salaire des joueurs du PSG révèle une hiérarchie claire, une photographie précise du poids de chacun dans le projet parisien. Dembélé, Marquinhos ou Zaïre-Emery en haut de l’affiche, de jeunes talents comme Mayulu ou Kamara en bas de l’échelle. Décryptage complet d’un effectif doré.
Présentation de l’équipe
Le Paris Saint-Germain, véritable institution du football français, s’impose depuis plusieurs saisons comme le club phare de la Ligue 1. L’équipe du PSG pour la saison 2025-2026 incarne parfaitement l’ambition parisienne, mêlant stars internationales et jeunes prodiges issus de la formation. Sous les projecteurs, Ousmane Dembélé s’illustre comme le joueur le mieux payé de Ligue 1, avec un salaire qui fait de lui la tête d’affiche du championnat. Autour de lui gravitent des cadres incontournables comme Marquinhos, Lucas Hernandez et Achraf Hakimi, tous parmi les joueurs les mieux payés du championnat, illustrant la puissance financière du club.
Mais le Paris Saint-Germain ne se contente pas d’aligner les plus gros salaires : il investit aussi dans l’avenir avec des talents prometteurs tels que Warren Zaïre-Emery et Nuno Mendes, déjà essentiels dans l’équipe première. Cette politique de recrutement, alliant expérience et jeunesse, permet au PSG de rester compétitif sur tous les tableaux, tout en maintenant une masse salariale à la hauteur de ses ambitions. Le club de la capitale, fort de ses moyens et de son attractivité, continue d’attirer les meilleurs joueurs et de s’imposer comme la référence en Ligue 1, saison après saison.
Le contexte de la compétition
La Ligue 1, championnat phare du football français, est chaque année le théâtre d’une lutte acharnée entre les plus grands clubs du pays. Pour la saison 2025-2026, le PSG domine non seulement sur le terrain, mais aussi dans le classement des salaires des joueurs. Avec douze joueurs du PSG figurant parmi les quinze mieux rémunérés de la Ligue 1, le club parisien affiche une supériorité financière indiscutable. Ousmane Dembélé, avec ses 1,5 million d’euros par mois, et Marquinhos, à 1,12 million d’euros, incarnent cette politique de rémunération ambitieuse.
Face à cette armada, des clubs historiques comme l’OM ou l’OL tentent de rivaliser, mais peinent à suivre le rythme imposé par la masse salariale du PSG. Les investissements réalisés sur des joueurs comme Khvicha Kvaratskhelia ou Vitinha témoignent de la volonté du club de rester au sommet, tandis que des stars comme Lucas Chevalier et Vitinha renforcent encore l’effectif. Dans ce contexte, les droits TV et les revenus générés par le club jouent un rôle crucial, permettant au PSG de proposer les plus gros salaires et d’attirer les meilleurs talents.
La compétition reste néanmoins intense, chaque club cherchant à tirer son épingle du jeu, que ce soit par la formation, le recrutement malin ou la gestion des primes et rémunérations. Les supporters, quant à eux, attendent avec impatience de voir si le Paris Saint-Germain saura transformer cette puissance financière en nouveaux titres, et si la saison 2025-2026 confirmera la suprématie parisienne sur la Ligue 1.
Les gardiens, entre expérience et jeunesse
Dans les cages, Paris mise sur un trio équilibré. Lucas Chevalier, arrivé pour sécuriser le poste, touche 8 millions d’euros par an, soit environ 666 000 euros mensuels. Un salaire de titulaire indiscutable, à la hauteur de son statut d’international français. Derrière lui, Matvey Safonov, recruté pour sa solidité et son calme, émarge à 4,8 millions d’euros annuels, soit 400 000 euros par mois. C’est le juste prix d’une doublure fiable capable de tenir la barre en cas d’absence du numéro un. Enfin, le jeune Renato Marin ferme la marche avec 700 000 euros annuels, un salaire de promesse. Le PSG prépare l’avenir, tout en maintenant un équilibre entre les générations.
À titre de comparaison, Brice Samba, l’une des recrues hivernales du Stade Rennais, bénéficie également d’un salaire significatif, illustrant la tendance des grands clubs de Ligue 1 à proposer des packages financiers importants à leurs gardiens.
Une défense au portefeuille XXL
Marquinhos Crédits : imago images/PanoramiC
La défense parisienne, c’est du solide, et ça se voit sur la fiche de paie. Marquinhos, capitaine emblématique, touche 13,44 millions d’euros par an, soit 1,12 million d’euros par mois. Il reste l’un des piliers économiques et sportifs du vestiaire. Non loin, Lucas Hernández et Achraf Hakimi affichent le même standing : 13,2 millions d’euros annuels, ou 1,10 million mensuels chacun. Leur expérience et leur régularité justifient ces chiffres. À gauche, Nuno Mendes reste bien valorisé avec 9,6 millions d’euros par an (800 000 euros par mois).
En comparaison, certains joueurs de l’Olympique de Marseille occupent aussi des places élevées dans la hiérarchie salariale de la Ligue 1. Par exemple, Leonardo Balerdi et Benjamin Pavard figurent parmi les mieux rémunérés de l’OM. Du côté des joueurs non-parisiens, Emerson Palmieri et Pierre-Emile Höjbjerg se distinguent également en occupant des places importantes dans le classement des salaires, ce qui souligne la valeur de leur expérience et leur attractivité sur le marché.
Malgré ses blessures passées, le Portugais conserve une place forte. Du côté des nouvelles recrues, Willian Pacho (4,5 M€/an) et Ilya Zabarnyi (5 M€/an) viennent renforcer la ligne défensive avec des salaires déjà conséquents. Ils symbolisent cette stratégie du PSG : miser sur des talents solides avant qu’ils n’explosent totalement sur la scène européenne. Le jeune Lucas Beraldo poursuit sa progression avec 3,27 millions d’euros annuels. Quant à Noham Kamara, formé au club, il débute modestement à 130 000 euros par an, un contraste vertigineux mais logique dans une telle galaxie de stars.
Un milieu de terrain équilibré entre jeunesse et expérience
C’est sans doute le cœur du jeu parisien qui reflète le mieux la mutation du club. Warren Zaïre-Emery, à seulement 19 ans, affiche déjà un salaire de 11,4 millions d’euros par an (950 000 euros par mois). Un chiffre qui illustre son rôle central et la confiance absolue du staff. À ses côtés, Vitinha touche 10,8 millions d’euros annuels. Le Portugais, indispensable dans la relance, a conquis tout le monde au fil des saisons. João Neves, arrivé cet été, perçoit 4,8 millions d’euros par an, le salaire d’un joueur appelé à s’imposer rapidement.
Derrière eux, Fabián Ruiz conserve un statut intermédiaire avec 5,21 millions d’euros par an, un montant cohérent avec son rôle de rotation fiable. Les jeunes ne sont pas oubliés : Senny Mayulu, produit du centre de formation, touche 720 000 euros annuels, un investissement sur l’avenir. Le salaire des joueurs du PSG au milieu de terrain illustre cette politique : de jeunes cracks encadrés par des éléments d’expérience, pour assurer la continuité du jeu parisien.
À titre de comparaison, d’autres milieux de terrain de Ligue 1 comme Geoffrey Kondogbia et Matt O’Riley figurent également parmi les joueurs les mieux rémunérés du championnat, soulignant leur importance dans le classement salarial des footballeurs professionnels en France.
Salaire des joueurs du PSG : des ailiers aux chiffres qui donnent le tournis
Sur les côtés, la vitesse et le talent se payent cher. Khvicha Kvaratskhelia, recrue phare de l’hiver 2025, émarge à 10,8 millions d’euros par an, soit 900 000 euros mensuels. Le Géorgien représente le nouveau visage offensif du PSG. Désiré Doué, nouvelle pépite bretonne, touche 6 millions d’euros par an, tandis que Kang-in Lee perçoit 7,27 millions d’euros annuels, une belle récompense pour sa polyvalence et son rôle croissant. Dans l’ombre, Ibrahim Mbaye (120 000 €/an) et Quentin Ndjantou, dont le salaire n’a pas été communiqué, complètent ce secteur riche en dynamite offensive. Paris a misé gros sur la créativité, et les chiffres confirment cette stratégie.
À noter que dans le classement des salaires des ailiers de Ligue 1, Mason Greenwood figure parmi les recrues avec un salaire élevé, s’imposant dans le top 10 des ailiers les mieux rémunérés du championnat.
L’attaque, le nerf de la guerre
Crédits : IMAGO/ABACAPRESS
À la pointe de l’attaque, Gonçalo Ramos touche 5,32 millions d’euros par an, un salaire conséquent pour un joueur encore en quête de constance. Les contrats des attaquants du PSG, incluant salaires et primes, témoignent d’accords financiers parmi les plus élevés du championnat. Mais la vraie star, c’est Ousmane Dembélé, véritable locomotive financière de l’effectif. Son contrat à 18 millions d’euros annuels en fait le joueur le mieux rémunéré du club. Les salaires atteignent ainsi plusieurs millions d’euros, soulignant l’importance de ces montants dans le football professionnel.
Il y a une surprise à voir le PSG dominer le classement des salaires malgré certains départs récents, et les attaquants du club restent dans le top de la hiérarchie salariale de la Ligue 1. Dans un vestiaire où les ego sont nombreux, ces chiffres montrent l’importance du rôle de chacun dans le projet sportif. Le salaire des joueurs du PSG ne se limite pas à des montants extravagants : il traduit aussi une hiérarchie claire et une vision du club, où la performance prime sur le prestige.
Salaire des joueurs du PSG par postes
Gardien de but
Lucas Chevalier : 8 millions d’euros annuel – 666 000 € mensuels
Matvey Safonov : 4,8 millions d’euros annuel – 400 000 € mensuels
Renato Marin : Environ 700.000 euros annuel – 58 000 € mensuels
Défenseur
Willian Pacho : 4,5 millions d’euros annuel – 375 000 € mensuels
Ilya Zabarnyi : Environ 5 millions d’euros annuel – 415 000 € mensuels
Marquinhos : 13,44 millions d’euros annuel – 1,12 millions € mensuels
Lucas Beraldo : 3,27 millions d’euros annuel – 273 000 € mensuels
Noham Kamara : 130.000 d’euros annuel – 10 800 € mensuels
Nuno Mendes : 9,6 millions d’euros annuel – 800 000 € mensuels
Lucas Hernández : 13,2 millions d’euros annuel – 1,10 millions € mensuels
Achraf Hakimi : 13,2 millions d’euros annuel – 1,10 millions € mensuels
Milieu
Vitinha : 10,8 millions d’euros annuel – 90 000 € mensuels
João Neves : 4,8 millions d’euros annuel – 400 000 € mensuels
Warren Zaïre-Emery : 11,4 millions d’euros annuel – 950 000 € mensuels
Fabián Ruiz : Environ 5,21 millions d’euros annuel – 435 000 € mensuels
Senny Mayulu : 720 000 euros annuel – 60 000 € mensuels
Ailliers
Khvicha Kvaratskhelia : 10,8 millions d’euros annuel – 900 000 € mensuels
Bradley Barcola : 6,6 millions d’euros annuel – 550 000 € mensuels
Quentin Ndjantou : NC
Désiré Doué : 6,0 millions d’euros annuel – 500 000 € mensuels
Kang-in Lee : 7,27 millions d’euros annuel – 606 000 € mensuels
Ibrahim Mbaye : 120 000 euros annuel – 10 000 € mensuels
Avant centre
Ousmane Dembélé : 18 millions d’euros annuel- 1,50 millions € mensuels
Gonçalo Ramos : 5,32 millions d’euros annuel- 444 000 € mensuels
Un vestiaire à plusieurs vitesses
Ce qui frappe, c’est l’écart entre les stars et les jeunes.
Le départ de Kylian Mbappé lors du dernier mercato, avec son transfert retentissant au Real Madrid, a profondément bouleversé la hiérarchie salariale du PSG et de la Ligue 1. Anciennement joueur le mieux payé du championnat, Kylian Mbappé a laissé un vide qui a modifié la structure des rémunérations au sein du club parisien, illustrant l’impact majeur de tels transferts sur l’équilibre financier et l’attractivité du PSG.
Entre Dembélé et Kamara, l’écart dépasse les 17 millions d’euros par an. Le PSG assume cette inégalité, convaincu que la formation doit s’inscrire dans un environnement d’excellence. Les jeunes talents apprennent aux côtés des meilleurs, tout en acceptant un statut financier transitoire. C’est une manière de construire l’avenir sans bousculer l’équilibre du groupe.
Le PSG, entre ambition et maîtrise
En additionnant tous ces salaires, on mesure l’ampleur de l’investissement. Mais le club semble mieux maîtriser sa masse salariale qu’à certaines époques. L’absence de Mbappé a rééquilibré les comptes. Le salaire des joueurs du PSG reste élevé, mais plus homogène, plus cohérent. Les dirigeants veulent éviter les déséquilibres internes qui fragilisent un collectif. Paris vise une deuxième Ligue des Champions, mais avec un modèle plus rationnel.
L’avenir s’écrira entre continuité et ambition. De nouvelles négociations pourraient revoir certains salaires à la hausse, surtout si le PSG confirme. Une chose est sûre : au Parc des Princes, les chiffres ne mentent jamais. Et la question du salaire des joueurs du PSG continuera de passionner autant que leurs performances sur le terrain.
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