Bilan de la trêve de novembre 2025 : La trêve internationale de novembre 2025 a livré des scénarios intenses, des exploits inattendus et des drames sportifs, dessinant presque entièrement le tableau de la prochaine Coupe du monde. Ce bilan de la trêve de novembre 2025s’impose comme un tournant majeur dans les qualifications mondiales, où les favoris ont affirmé leur puissance et où plusieurs nations ont écrit l’histoire en décrochant leur premier billet pour la compétition. Au fil des jours, les enjeux ont enflammé les stades, révélant des trajectoires héroïques et des déceptions lourdes de sens pour certaines sélections emblématiques. Et ce n’est pas tout, car cette trêve a aussi confirmé que la Coupe du monde 2026, élargie à 48 équipes, offre un panorama inédit de diversité et de tension sportive.

Bilan de la trêve de novembre 2025
Le tempo s’est accéléré dès les premiers matchs, laissant émerger une narration rythmée faite de victoires éclatantes, de qualifications miraculeuses et de chutes brutales. Pourtant, derrière les résultats se cachent les dynamiques profondes d’un football mondial en mutation. Les supporters ont vibré, les sélectionneurs ont tremblé et les équipes ont joué leur destin à chaque ballon. Ce tableau final, presque complet mais encore suspendu à quelques ultimes verdicts, permet déjà de mesurer l’ampleur de cette trêve historique. Mais attention, chaque confédération a vécu son propre chapitre, avec ses codes, ses héros et ses éclats.
Répartition par confédération :
- Pays hôtes (3) : Canada, États-Unis, Mexique
- Europe (12) : Angleterre, France, Croatie, Norvège, Espagne, Portugal, Écosse, Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Suisse, Autriche
- Afrique (9) : Maroc, Tunisie, Égypte, Algérie, Ghana, Cap-Vert, Afrique du Sud, Côte d’Ivoire, Sénégal
- Asie (8) : Japon, Iran, Ouzbékistan, Jordanie, Corée du Sud, Australie, Qatar, Arabie saoudite
- Amérique du Sud (6) : Argentine, Brésil, Uruguay, Équateur, Colombie, Paraguay
- Océanie (1) : Nouvelle-Zélande
Places restantes : 9 places restent à attribuer via les barrages européens (4 places en mars 2026), les barrages intercontinentaux (2 places en mars 2026) et les dernières qualifications de la CONCACAF (3 places directes à déterminer le 18 novembre)
Bilan de la trêve de novembre 2025 : L’Europe valide douze billets et expose ses contrastes
La zone UEFA a une nouvelle fois capté l’attention avec douze qualifiés directs et seize nations propulsées vers les barrages. La France, impeccable, a survolé le groupe D avec seize points sur dix-huit possibles et une différence de buts de +12. Les Bleus ont encore impressionné en terminant invaincus pour la cinquième fois de leur histoire, confirmant une dynamique rare marquée par huit qualifications consécutives pour le Mondial. Leur victoire maîtrisée à Bakou contre l’Azerbaïdjan clôture une campagne parfaitement menée qui confirme la robustesse de leur collectif.
L’Allemagne
L’Allemagne a frappé fort avec un succès 6-0 contre la Slovaquie, symbole de son retour au premier plan. Les Pays-Bas ont dominé le groupe G sans la moindre défaite, rappelant leur régularité au plus haut niveau. Le Portugal a livré l’un des scores les plus marquants de cette trêve en écrasant l’Arménie 9-1, porté par un secteur offensif irrésistible. L’Espagne, malgré un 2-2 accroché contre la Turquie, a terminé en tête de son groupe et poursuit son parcours sans accroc après son sacre continental.
L’Ecosse
Dans les moments les plus intenses, l’Écosse a vécu une soirée insensée avec deux buts dans le temps additionnel face au Danemark, validant sa première qualification depuis 1998. Le geste fou de Kenny McLean, auteur d’un lob depuis le rond central, restera comme un symbole de cette trêve agitée. L’Autriche, de son côté, a arraché un nul crucial contre la Bosnie-Herzégovine pour décrocher son premier Mondial depuis vingt-sept ans et ressusciter une ferveur endormie.
La Belgique
La Belgique a réagi avec panache en s’imposant 7-0 contre le Liechtenstein, portée par un festival offensif de Jeremy Doku et Charles De Ketelaere. La Suisse, sereine, a conclu en tête grâce à un nul contre le Kosovo. Pourtant, le contraste européen a aussi révélé son drame : l’Italie. Battue 4-1 à domicile par la Norvège dans un San Siro médusé, la Squadra Azzurra s’est effondrée malgré l’ouverture du score. Erling Haaland, encore lui, a porté la Norvège vers une qualification historique tandis que les Italiens se dirigent vers des barrages tendus.
Les mots “lamentable” et “humiliation” ont dominé la presse transalpine, renforçant la portée symbolique de cette déroute. Les barrages européens regrouperont seize équipes pour quatre billets, avec un format sec comprenant demi-finales et finales à élimination directe les 26 et 31 mars 2026. Le tirage au sort de Zurich a déjà placé l’Italie dans une position de tête de série qui ne garantit pourtant rien dans ce format impitoyable où chaque erreur se paie cash.
Bilan de la trêve de novembre 2025 : L’Afrique entre confirmations et émergences historiques
La trêve africaine a couronné neuf nations qualifiées directement, dont le Maroc, la Tunisie, l’Égypte, l’Algérie, le Ghana et la Côte d’Ivoire. Le Sénégal, porté par un effectif toujours aussi robuste, complète cette liste. L’Afrique du Sud a confirmé ses progrès constants, tandis que le Cap-Vert a signé la plus belle page de son histoire en validant sa première participation à une Coupe du monde. Cette trajectoire, construite sur un football technique et méthodique, a marqué les esprits à l’échelle du continent.
Mais attention, un dernier ticket restait en jeu dans un tournoi couperet à quatre équipes organisé à Rabat. Le Nigeria, favori naturel, a battu le Gabon après prolongation dans une rencontre physique et disputée. Pourtant, la vraie surprise est venue de la RD Congo qui a dominé le Cameroun 1-0 grâce à un but salvateur de Chancel Mbemba. Le scénario de la finale a encore accentué le suspense avec un match nul 1-1 suivi d’une séance de tirs au but remportée par les Congolais. La RDC retrouve ainsi ses rêves mondiaux qu’elle n’a plus touchés depuis 1974, époque où elle portait encore le nom de Zaïre. Ce parcours, nourri par un ADN combatif et une gestion technique solide, propulse la sélection de Sébastien Desabre vers les barrages intercontinentaux où elle jouera sa dernière carte.
Bilan de la trêve de novembre 2025 : L’Amérique du Sud confirme ses géants et ouvre une porte
En Amérique du Sud, les verdicts étaient déjà scellés avant la trêve, mais les dynamiques restent importantes. L’Argentine a dominé les éliminatoires avec trente-huit points, fidèle à son statut de championne du monde. Le Brésil, désormais guidé par Carlo Ancelotti, a connu quelques turbulences mais a assuré l’essentiel. L’Uruguay, l’Équateur, la Colombie et le Paraguay complètent les qualifiés directs. Le Paraguay signe ainsi un retour significatif après plusieurs cycles décevants. Pour la Bolivie, la septième place offre encore une chance via les barrages intercontinentaux. Une opportunité rare pour une sélection souvent considérée comme outsider mais bien décidée à bousculer la hiérarchie.
Bilan de la trêve de novembre 2025 : L’Asie distribue ses derniers billets et révèle ses outsiders
La zone asiatique a confirmé huit qualifiés directs avec le Japon, l’Iran, la Corée du Sud et l’Australie en tête. Mais ce cycle restera marqué par deux premières historiques : l’Ouzbékistan et la Jordanie participeront à leur premier Mondial. Le Qatar et l’Arabie saoudite complètent la liste dans une région où chaque point est devenu précieux. Pour le dernier ticket continental menant aux barrages, l’Irak a arraché sa qualification au terme d’une double confrontation épique contre les Émirats arabes unis. Après un 1-1 à l’aller, un penalty transformé à la 90+17 a offert à l’Irak un succès 2-1 et un espoir immense de retourner enfin en Coupe du monde, quarante ans après sa seule participation.
Bilan de la trêve de novembre 2025 : La CONCACAF offre le feuilleton le plus haletant
Cette zone a offert les rebondissements les plus serrés. Dans le groupe A, le Suriname et le Panama se sont disputé la première place jusqu’au bout avec un suspense total. Le parcours du Suriname, petit pays d’Amérique du Sud recouvert à 97% par la forêt amazonienne, s’est imposé comme l’une des plus belles histoires de cette trêve. Dans le groupe B, Curaçao a ébloui avec un 7-0 retentissant contre les Bermudes. Cette île de 150 000 habitants pouvait devenir la plus petite nation jamais qualifiée, un récit qui a captivé l’attention internationale. La Jamaïque a joué sa carte jusqu’au dernier jour dans un duel à haute tension.
Le groupe C a proposé un scénario encore plus tendu avec le Honduras, Haïti et le Costa Rica au coude-à-coude. La victoire d’Haïti contre le Costa Rica a offert une chance unique au pays, malgré les conflits internes qui l’ont obligé à jouer à Curaçao. La dernière journée devait trancher un chapitre où les émotions ont souvent dépassé la simple dimension sportive. Trois qualifiés et deux barragistes doivent émerger de cette lutte à suspense.
Bilan de la trêve de novembre 2025 : L’Océanie ouvre la voie et prépare ses barrages
La Nouvelle-Zélande a validé sa place sans surprise, dans une zone qu’elle domine depuis des années. La Nouvelle-Calédonie, deuxième, disputera les barrages intercontinentaux avec une ambition rare. Ce parcours souligne la montée en puissance d’un football océanien souvent discret mais en progression constante.
Les barrages intercontinentaux s’annoncent explosifs
Six nations joueront leur avenir mondial au Mexique entre le 23 et le 31 mars 2026. La RDC, la Bolivie, l’Irak, la Nouvelle-Calédonie et deux équipes de la CONCACAF se disputeront les deux derniers billets. Le format inclut deux têtes de série exemptées de demi-finales, un avantage stratégique qui pourrait jouer un rôle clé. Le tirage au sort, organisé comme celui des barrages européens, a ajouté une dimension supplémentaire à cet épilogue encore ouvert.
Une Coupe du monde presque complète avant décembre
Au final, trente-neuf nations sont déjà qualifiées. L’Europe mène avec douze billets validés, suivie par l’Afrique, l’Asie, l’Amérique du Sud et l’Océanie. Trois places hôtes complètent ce tableau presque définitif. Il reste neuf tickets à attribuer entre les barrages européens, les barrages intercontinentaux et la CONCACAF. Le tirage au sort du 5 décembre à Washington dévoilera la première phase d’une Coupe du monde élargie où plusieurs nations découvriront la compétition pour la première fois. La tension monte déjà, annonçant un début d’année 2026 brûlant et une suite haletante pour tous les passionnés.
Résumé Bilan de la trêve de novembre 2025
La trêve internationale de novembre 2025 a dévoilé l’essentiel du tableau de la Coupe du monde 2026 avec trente-neuf nations déjà qualifiées. L’Europe a offert des contrastes forts entre les succès de la France, de l’Allemagne ou encore du Portugal, et la chute spectaculaire de l’Italie. L’Écosse et l’Autriche ont signé des qualifications historiques.
En Afrique, neuf nations ont validé leur billet tandis que la RD Congo a créé la surprise en rejoignant les barrages intercontinentaux. L’Amérique du Sud a confirmé ses six qualifiés et conserve la Bolivie en course. En Asie, l’Irak a conquis le dernier ticket pour les barrages après un penalty décisif dans les arrêts de jeu. La CONCACAF a offert les scénarios les plus serrés, avec le Suriname, Curaçao et Haïti au cœur des dynamiques. La Nouvelle-Zélande et la Nouvelle-Calédonie représenteront l’Océanie. Les barrages intercontinentaux réuniront six équipes pour deux places. Le tirage au sort du 5 décembre compléterá un tableau déjà riche en surprises.
Voir aussi notre article sur : Azerbaïdjan France : Les Bleus concluent 2025 par une victoire
