L’équipe de France s’impose en Azerbaïdjan et valide une dernière prestation sérieuse pour finir l’année. Ce match Azerbaïdjan France offre un succès logique malgré une entame difficile. Les Bleus terminent 2025 avec un visage solide et des confirmations individuelles importantes.
L’air frais de Bakou avait un parfum particulier. Les qualifications déjà en poche, les Tricolores arrivaient dans ce stade mythique avec l’envie de bien finir. Le décor était simple : un onze totalement renouvelé, un adversaire sans pression et l’occasion de donner du temps de jeu aux joueurs en quête de repères. Et ce n’est pas tout. Ce déplacement offrait aussi une dernière observation avant la liste finale en vue du Mondial 2026. Il fallait donc montrer du caractère.
Le premier quart d’heure a tout renversé. Une erreur de placement, un débordement mal anticipé et les Bleus concédaient un but express. Pourtant, la suite a montré une équipe patiente, ambitieuse et déterminée. Le groupe de Didier Deschamps a su réagir avec sérieux et précision. Ce match Azerbaïdjan France a alors pris son vrai visage, celui d’une équipe sûre de ses forces. Le succès final (1-3) s’inscrit dans une dynamique enthousiasmante.
Une ouverture du score brutale qui secoue les Bleus
L’entame a glacé les Tricolores. À la quatrième minute, l’Azerbaïdjan surprend la défense française. Dashdamirov déborde sur le côté droit. Gusto se fait dépasser. Le centre arrive au second poteau. Dadashov frappe du gauche et trompe Lucas Chevalier. Le portier du PSG vit une première compliquée. Il devient le gardien français ayant encaissé le but le plus rapide depuis 1935. Une statistique cruelle, presque irréelle pour un débutant au niveau international.
La défense recule d’un cran. Le milieu perd les duels. La France paraît désorientée. Ce onze entièrement modifié manque d’automatismes et cela se voit dès les premiers contacts. Ce match Azerbaïdjan France bascule dans une tension inattendue. Pourtant, ce scénario réveille les Bleus. Le groupe décide d’avancer le bloc, de serrer les lignes et de presser plus haut. Ce retour à l’intensité va tout changer.
Une réaction immédiate et une première période renversante
La réplique française arrive au quart d’heure. Malo Gusto, fautif sur le premier but, se reprend immédiatement. Centre précis depuis son couloir. Mateta devance son défenseur et claque une tête puissante. Le ballon file au fond. Un but qui libère une équipe en quête de confiance. L’avant-centre signe déjà son deuxième but en trois sélections. Une efficacité remarquable.
Le rythme accélère. Les Bleus multiplient les incursions. Gusto pense marquer le deuxième après une action confuse, mais la VAR annule le but pour une main collée au corps de Nkunku. Bixente Lizarazu ne comprend pas. Le jeu reprend pourtant sans pause. La France insiste. Et à la demi-heure, l’avantage arrive. Akliouche se trouve à la conclusion d’un mouvement limpide. Thuram centre du gauche vers le second poteau. Gusto remet sans contrôle. Akliouche conclut en finesse. Le jeune Monégasque inscrit son premier but international. Un vrai symbole d’un match Azerbaïdjan France orienté vers l’avenir.
Le troisième but reflète l’élan du moment. Sur un corner, Akliouche envoie un ballon dangereux. La défense repousse mal. Thuram met le pied. La balle rebondit. Elle frappe le gardien Magomedaliyev avant de terminer au fond. Le but est logiquement attribué au portier en contre-son-camp. L’équipe mène 1-3. Et pourtant, le score aurait pu être plus large. La mi-temps confirme la domination tricolore après un début chaotique.
Une seconde période contrôlée avec maîtrise et patience
Au retour des vestiaires, le ton change. La France ralentit le jeu. Deschamps souhaite gérer les efforts. Les Bleus gardent la possession. Ils atteignent près de 74 % de maîtrise du ballon. Les Azerbaïdjanais reculent d’un cran. Le rapport de force devient clair. Le rythme baisse mais la sérénité reste totale.
Le sélectionneur lance Cherki et Thauvin à l’heure de jeu. Barcola entre aussi pour apporter du mouvement. Mais attention. Ces changements n’apportent pas l’étincelle espérée. Le tempo du match diminue nettement. Les Bleus conservent le ballon mais ne prennent plus de risques. L’Azerbaïdjan ne cadre plus aucun tir après son but. La France déroule calmement. Aucun frisson. Aucune alerte. Le scénario semble figé. Ce match Azerbaïdjan France bascule alors dans une longue gestion, sérieuse mais sans éclat.
Quand l’arbitre siffle la fin du match, les Bleus affichent un visage solide et appliqué. Une prestation sans génie mais avec une rigueur réelle. Ce type de victoire compte toujours dans un parcours.
Des performances individuelles riches en enseignements
Le premier nom retenu est celui de Gusto. Le latéral réalise un match plein malgré son erreur initiale. Deux passes décisives. Des montées tranchantes. Une activité permanente. Son match Azerbaïdjan France confirme sa progression. Il s’impose comme un sérieux candidat à la liste finale.
Konaté porte le brassard et assume son rôle. Sa relance verticale structure la sortie de balle. Son match reste propre. Le contexte idéal pour reprendre confiance après une période difficile.
Akliouche marque et délivre un corner décisif. Son influence grandit sélection après sélection. Mateta confirme une nouvelle fois son sens du but. Chaque ballon dans la surface devient un danger. Nkunku, en revanche, peine à peser. Son match trop neutre laisse place à des interrogations.
Et puis il y a Chevalier. Après le choc du premier but encaissé, il se montre calme, précis et sérieux. Son intégration chez les Bleus débute avec une page d’histoire. Il devient le 19ᵉ joueur du PSG à défendre les couleurs de l’équipe nationale. Un symbole fort dans ce match Azerbaïdjan France.
Une qualification maîtrisée et une série impressionnante
Avec ce succès, la France conclut ses qualifications pour la Coupe du monde avec un parcours sans défaite. Cinq victoires et un match nul. Une deuxième campagne invaincue consécutive. Les Tricolores n’ont plus perdu dans ces compétitions depuis 2019 en Turquie. Une série exceptionnelle. Vingt-huit matchs sans perdre. Un record pour les Bleus.
Le groupe D offre une photographie claire. La France termine en tête avec 16 points. L’Islande suit à distance. L’Ukraine reste derrière. L’Azerbaïdjan ferme le classement. Le bilan face aux Azerbaïdjanais devient même un impressionnant 18-1 en cumulé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Ce match Azerbaïdjan France s’inscrit dans une domination historique.
Le tirage du Mondial arrive dans quelques jours. Washington accueillera la cérémonie. Les Bleus seront attendus. Le format à 48 équipes ouvre de nouvelles dynamiques. La France avance avec ambition. La sérénité du soir de Bakou nourrit cette confiance.
Les regards se tournent maintenant vers la grande échéance mondiale. Une compétition qui s’annonce intense et qui pourrait offrir un dernier défi majeur pour Didier Deschamps.
Résumé
Les Bleus terminent l’année avec un succès logique dans ce match Azerbaïdjan France. Le début est pourtant catastrophique avec un but encaissé dès la quatrième minute. Chevalier vit une première douloureuse mais retrouve ensuite son calme. Les Tricolores réagissent vite grâce à Mateta, servi par un excellent Gusto. Akliouche marque ensuite son premier but international et confirme sa montée en puissance. Le troisième but arrive sur un contre-son-camp du gardien local après un corner mal renvoyé. La seconde période se transforme en gestion maîtrisée avec une possession écrasante. Les entrées de Cherki, Thauvin et Barcola n’apportent pas un nouveau souffle décisif. Plusieurs joueurs marquent des points dont Gusto, Mateta et Akliouche. La France boucle ses qualifications sans défaite et reste invaincue depuis 28 matchs dans ces compétitions. Le tirage du Mondial approche et les Bleus avancent avec confiance.
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